Ce que peut traiter la chiropratique


Nos centres nerveux reçoivent des informations de notre organisme entier et de son environnement. En fonction de quoi, afin de nous « piloter », ils renvoient des ordres adaptés à nos muscles, à nos organes et à nos glandes.

Ces informations et ces ordres voyagent sur des fibres nerveuses formant des nerfs qui, hormis quelques nerfs crâniens, passent tous par notre colonne vertébrale ou notre sacrum (dans le bassin).

Or, des subluxations affectent souvent colonne et bassin, altérant le contenu de ces informations et de ces ordres. Perturbant, du même coup, le fonctionnement de divers muscles, organes ou glandes. Chercher à prévenir les subluxations vertébrales ou pelviennes, traiter la colonne vertébrale ou le bassin, revient à prévenir ou à traiter des pathologies intéssant nos muscles, nos organes ou nos glandes (et non pas seulement les maux de dos).

La chiropratique prend en charge, par exemple, les entorses, les hernies discales, lombalgies, sciatiques et cruralgies, dorsalgies, cervicalgies, torticolis, névralgies cervico-brachiales ou intercostales, tendinites, syndrome du canal carpien mais aussi céphalées, migraines, vertiges et acouphènes; mais encore, des dysfonctionnements thyroïdiens, gastriques ou intestinaux, pulmonaires ou cardiaques, ou plus simplement, les entorses de cheville et autres atteintes des articulations des membres. Les résultats sont, évidemment, liés au lien entre les pathologies à traiter et des subluxations vertébrales ou pelviennes : si une anomalie est sans rapport aucun avec une subluxation vertébrale ou pelvienne, alors le traitement chiropratique n'est pas indiqué.

Les maladies infectieuses et les cancers sont hors du champ de compétence de la chiropratique.

Afin de protéger votre vie privée,
ce site n'utilise aucun cookie de tracking.